Semaine nationale de la généalogie : Les lignées matrilinéaires – 1re partie
Du 19 au 26 novembre 2022, la Fédération québécoise des sociétés de généalogie et ses centres d’archives membres proposent de nombreuses activités pour la 11e édition de la Semaine nationale de la généalogie. Le tout se déroule sous le thème « De mère en fille, la généalogie au féminin ». À la Société d’histoire et de généalogie Maria-Chapdelaine, notre comité de généalogie a préparé leur propre lignée matrilinéaire, c’est-à-dire à partir des ancêtres maternelles.
La lignée de Rita Bouchard
Notre généalogiste bénévole Yves Rousseau nous présente la lignée matrilinéaire de sa mère, Rita Bouchard.
Rita Bouchard née à St-Ambroise le 1er juillet 1923. Elle a vécu son enfance à St-Eugène. Sa mère était ménagère au presbytère. Son père était le « bedeau » pour son frère Joseph, curé de cette même paroisse. Ce dernier administrait aussi les missions de St-Stanislas et de Notre-Dame-de-Lorette. Elle se marie à St-Eugène le 23 juin 1945 avec Léopold Rousseau, natif de St-Stanislas, municipalité où le couple emménage par la suite.
Ses origines matrilinéaires la lie à Louise Gargottin, une fille du Roi née à Lajarne (La Rochelle, en France) vers 1637. Elle arrive à Québec le 30 juin 1663 sur le navire Phoenix. Mère de la lignée Perron/Gargottin d’Amérique, elle épouse Daniel Perron dit Suire à Château-Richer le 26 février 1664.
La lignée de Jeanne-Mance Larouche
Notre généalogiste bénévole Dario Bouchard nous présente la lignée matrilinéaire de sa mère, Jeanne-Mance Larouche.
Jeanne-Mance Larouche est née le 18 avril 1941 dans la maison familiale à Girardville. Elle est née prématurément et a passé les trois premiers mois de sa vie « sur la bavette du poêle », ce qui faisait alors office d’incubateur. Rescapée, elle a vécu une enfance sans problème et était même gâtée. Jeanne-Mance a été scolarisée par les religieuses. Elle a fait son « école normale » pour obtenir son brevet d’enseignement.
À 20 ans, elle épouse Gilles Bouchard, lui aussi de Girardville. De leur union sont nés trois enfants : Dario, Chantale et Marc-André. Jeanne-Mance a enseigné au primaire une très grande partie de sa vie, même si celle-ci fut trop courte puisqu’elle est décédée à 64 ans.
La lignée de Marie-Louise Langevin
Notre généalogiste bénévole Gaétan Dubois nous présente la lignée matrilinéaire de sa mère, Marie-Louise Langevin.
Laissez-moi vous présenter la lignée matrilinéaire de Marie Louise Langevin, ma mère, mariée à Ubald Dubois le 29 juin 1927 à La Doré. Passant par la première arrivante au Québec en 1665, Jacqueline Leliot, mariée en 1645 à Martin Laverdure, fille du Roy arrivée de Dieppe sur le navire le St-Jean Baptiste.
Des liens utiles :
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Concours de la semaine par la FQSG
Publié le novembre 21, 2022